« Ma fille, les douleurs de Ma Divine Volonté sont indescriptibles et inconcevables pour la nature humaine. Elle est dans toutes les créatures, mais elle est sous l’oppression d’une agonie énorme et déchirante, car au lieu de lui donner la domination pour qu’elle développe sa vie en eux, ils la répriment sans lui donner la liberté d’agir, de respirer, de battre.
Ainsi, la volonté humaine travaille, respire librement, bat comme elle le veut, et la mienne n’est là que pour la servir, pour contribuer à ses actes et pour être au sein de ces actes, agonisante, réprimée, sans lui donner la liberté d’agir, de respirer, de battre.
Ainsi la volonté humaine travaille, respire librement, bat à sa guise, et la mienne n’est là que pour la servir, pour contribuer à ses actes et pour être au sein de ces actes, agonisante, étouffée sous le râle d’une agonie de longs siècles…